Mon Maître

Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 00:30

Lorsque par mail j'ai demandé à mon Maître le genre de tenue dans laquelle il préférait me voir, il m'a répondu "la plus pétasse possible". Autrement dit, j'ai carte blanche pour revêtir les tenues les plus indécentes qui soient, dans lesquelles même les femmes n'oseraient pas se montrer dans la rue. D'ailleurs, l'idée d'être habillée comme une pute a le don de m'exciter... J'ai donc commandé une microjupe ample qui, à défaut de dissimuler la fixation de mes jarretelles sur mes bas résilles, et à défaut de cacher intégralement mon clito, permet un "accès direct à ma chatte" a-t-il précisé... En attendant, et à l'occasion de ce nouveau rendez-vous, je me contente d'une jupe d'écolière sage et mi-cuisse.


20 h 15. Arrivée chez mon Maître, j'ôte mon long manteau qui dissimulait ma tenue de femme. Comme j'aurais aimé pouvoir me montrer ainsi dans la rue...


Dans la chambre, je finis de me préparer en enfilant mes bottines et en arrangeant ma longue perruque. Puis je retourne au salon pour m'accroupir à ses pieds et lui présenter ma boîte à accessoires.


Après application du bâillon et des menottes aux chevilles, il passe à l'inspection sous ma jupe et découvre un string rose à froufrous, avec des fentes d'ouverture devant et derrière, mais complètement débraillé. "C'est du n'importe quoi !" murmure-t-il. Ca commence mal... et il n'a pas tort. J'ai quitté mon domicile en retard, après une préparation effectuée à la va-vite, et sans vraiment réaliser que la taille de ce string tout neuf était trop juste.


En inspectant ma chatte, il me demande pourquoi je n'ai pas mis de lubrifiant, alors que le tube se trouve dans ma boîte à accessoires. A travers le bâillon, je lui murmure avec un certain embarras que j'ai oublié de m'en mettre... Comme il aurait préféré que je lui annonce que j'en ai plus besoin, j'ai droit à ma première punition : 10 fessées, et en ne faisant pas semblant ! Suite à ce traitement, il m'informe que je prendrai une autre correction dans la soirée pour avoir négligé le nettoyage de sa chambre lors du précédent rendez-vous . En effet, il a découvert que j'avais omis d'éliminer la poussière par endroits...


Puis vient le moment de l'introduction d'un gode dans ma chatte sensible, non sans difficultés, et en forçant  au point que l'objet finit par pénétrer brutalement... "Tu as travaillé ta chatte ?" - "Oui Maître !". Sans vouloir lui manquer de respect, il avait surtout mal regardé et visé un tantinet à côté... 


Ensuite, entravée avec les menottes aux chevilles, je dois passer l'aspirateur rapidement dans tout l'appartement. Sur mon passage, il remarque que mon clito produit du jus et laisse échapper des gouttes sur le parquet. Il me suggère, lors du prochain rendez-vous, d'insérer une tige pour colmater la fuite...


A titre de pause entre les tâches ménagères, j'ai droit à cette gâterie : il ouvre son pantalon et offre sa queue raide à ma bouche gourmande. Il me félicite pour mes progrès accomplis, même si j'ai parfois un inévitable réflexe de rejet lorsque je le reçois bien profond dans ma gorge. Pour avoir un peu de répit, j'alterne en jouant avec ma langue le long de sa queue...


Après avoir fait la vaisselle, c'est le moment du dessert. Il rouvre son pantalon et me demande de préparer ma langue afin de réceptionner son doux nectar prêt à gicler. Je conserve ainsi en moi cette partie de lui-même qu'est sa semence...


Puis je suis "autorisée" à passer tout l'appartement avec une serpillière, à 4 pattes, les chevilles toujours entravées, le string au niveau des genoux et le gode solidement arrimé entre mes fesses. N'ayant pas satisfait aux exigences de propreté parfaite, et comme il me l'avait promis, il m'inflige une sévère punition : 50 coups de ceinturon sur le postérieur ! La pénitence est dure, trop dure même. A quatre pattes, la jupe relevée, j'encaisse malgré tout jusqu'au bout, en comptant à sa demande chacune des frappes. Au coup final, je me redresse subitement pour ne pas m'exposer davantage à la sentence, car là c'en est trop...

 

Mais pour mon Maître, cela ne suffit pas. Il me remet le bâillon, enfile une cagoule intégrale sur ma tête et me fait relever. Puis je le sens me lier les poignets solidement avec une ficelle. Il me demande de soulever ma jupe pour accéder à mon clito. Je sens la ficelle enserrer la base de mes ovaires sur plusieurs tours. En tirant sur la ficelle, il me fait suivre. Je suis comme une chienne tenue en laisse, à ceci près que ladite laisse tire sur la partie la plus sensible de mon corps... Inutile d'essayer de résister. Il accroche la ficelle à un porte-manteau fixé au mur. La ficelle est très tendue. Je dois la tenir avec mes deux mains pour éviter qu'elle tire trop sur mes ovaires. Ainsi immobilisée, il en profite pour soulever ma jupe et exposer mes fesses à une nouvelle séries de corrections... Ensuite il m'abandonne dans cette position très vulnérable pour aller se prélasser devant la télé. 


21 h 30. Il me libère enfin de mes obligations de servante. Je retourne dans ma chambre, remets ma perruque courte et mes cuissardes, enfile mon long manteau, récupère les accessoires et souhaite une bonne soirée à mon Maître.

 

De retour à la voiture, en conduisant je rouvre mon manteau et parcours ainsi la ville en femme, sans que les quelques piétons remarquent quoi que ce soit de ma courte jupe, mes bas résilles et mes hautes cuissardes. Mais, c'est plus fort que moi, j'ai envie de marcher dehors ainsi vêtue, le manteau ouvert, et, bien évidemment, dans un endroit discret. Sur mon chemin du retour, je trouve un parking surélevé et désert. Je me gare, je m'assure qu'il n'y aucun passant aux alentours et sors de ma voiture. Malgré la température de 5° C, je goûte au plaisir de flâner dans une tenue féminine un tantinet provocante, le manteau long ouvert, en restant près de ma voiture, et en observant les automobilistes qui s'arrêtent plus bas au carrefour puis poursuivent leur route. Soudain, je vois passer une voiture de la police municipale. Ne voulant pas prendre le risque d'être repérée et que mon comportement et ma tenue soient mal interprétés, je retourne aussitôt à ma voiture, sans précipitation. C'est la fin de ce moment agréable écourté, mais ce n'est que partie remise...

Par Elsa TV - Publié dans : Mon Maître - Communauté : travesti salope
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 23:57

19 h 15. Je m'apprête à quitter mon domicile après plus d'une heure de préparation : dernière séance d'épilation de mes jambes, rasage de finition de mon clito, nettoyage de ma chatte, et habillement.

Je dissimule ma courte jupe et ma poitrine ambiguë sous un très long manteau, et mes bas résilles avec une paire de cuissardes à talons plats. Ma perruque courte est recouverte avec un bonnet d'hiver. Je suis ravie de pouvoir sortir en jupe, avec cette sensation agréable de douce fraîcheur remontant jusqu'en haut de mes cuisses, tout en passant inaperçue grâce à mon long manteau fermé. D'ailleurs, aucun passant ne prête attention à moi. Je peux ainsi rejoindre tranquillement ma voiture, et en route pour Maisons-Laffitte ! Au volant, je peux rouvrir mon manteau et me voir conduire en femme...

 

20 h. Arrivée chez mon Maître, et excitée à l'idée d'être vue habillée ainsi ! Dans le salon, j'ouvre mon manteau et lui présente ma nouvelle tenue : une petite jupe de style kawaii, motifs pâtisserie rouge et rose et dentelle, remontée au maximum au niveau de la taille, et évasée avec un large jupon en tulle blanc et fin. De quoi attiser son appétit... 

 

Il m'invite à finir de me préparer dans la chambre et la salle de bains. Je remplace mes cuissardes par de jolies bottines à talon moyen. J'arrange ma coiffure et me voilà prête à servir mon Maître.

 

Comme à chaque rendez-vous, il m'attend assis sur le canapé dans le salon. Je m'agenouille devant lui et pose à terre ma boîte à accessoires : cordes à bondage, bâillon, plug, lubrifiant, menottes pour chevilles, collier "slave", laisse, masque et cagoule.

 

Son premier geste consiste à me bâillonner. Puis il me fait signe de me lever et de soulever ma jupe. Il abaisse ma culotte, enfile la laisse à la base de mon clito et le ligote fermement avec les lanières en cuir. Gare aux durcissements que je risque de sentir passer ! Enfin, il installe les menottes à mes chevilles. Me voilà prête à le servir... Mais en plus, nouveau raffinement, et estimant que mon clito n'est pas à sa juste place, il le repousse vers l'arrière de mes cuisses, et me demande de rester ainsi, jambes serrées ! Pas facile de marcher dans ces conditions, avec le buste incliné en avant, mais cela ne semble pas vraiment le déranger...


1ère tâche : passer l'aspirateur, y compris dans les recoins, et avec la culotte abaissée à mi-hauteur de cuisse. Je parcours à petit pas le salon et la chambre, avec le clito qui me tire entre les jambes et finit par se libérer ! Inquiète de la réaction de mon Maître, je le remets en place discrètement. Pas de chance, il s'en aperçoit, et j'ai droit à ma première correction de la soirée : 10 fessées, sans ménagement ! 


A la fin du nettoyage, comme à l'issue de toute tâche, je retourne m'agenouiller devant lui, en attente de la sanction ou de la récompense... Il enlève mon bâillon, ouvre sa ceinture et son pantalon, et introduit sa queue en béton dans ma bouche... J'applique scrupuleusement ses instructions : bouche grande ouverte pour ne pas laisser frotter les dents, gorge profonde, tournoiement de la langue autour du gland, puis nettoyage final avec la langue...

 

2è tâche : repassage de chemises et de polos, le dos tourné à mon Maître, qui, lui, est confortablement installé dans le canapé, avec vue directe sous ma jupe et mon jupon au ras des fesses, mon clito coincé derrière mes cuisses, et ma culotte presqu'au niveau des genoux.

 

3è tâche : la vaisselle, limitée heureusement à une assiette et un couvert.

 

4è tâche : "la serpillère, et à 4 pattes !" ordonne-t-il. Toujours bâillonnée, et ayant assez d'être exploitée, je lui fais "non" d'un signe de tête. Sa réaction ne se fait pas attendre... Il lie mes mains derrière le dos et me dirige vers la porte de sa chambre où se trouve fixée une barre. Il me ligote le buste et m'attache à cette barre. Il me penche en avant et lève ma jupe. Me voilà prête pour l'exécution de la sentence... Comme souvent à chaque rendez-vous, j'appréhende le sort qu'il me réserve. Je le sens s'approcher de moi, armé d'une tapette ou d'une ceinture (impossible d'apercevoir l'instrument de punition dans la position où je suis...). J'ai droit à une dizaine de frappes bien marquées, qui me font hurler à travers le bâillon. Ma peau s'en souviendra encore 48 h plus tard...

 

Puis il m'abandonne, ainsi immobilisée, pendant 1/4 d'heure. En m'observant depuis son canapé, il me demande de rester penchée en avant, histoire de se régaler à la vue de mes fesses rougies, qu'il revient palper à intervalles réguliers.

 

Enfin il revient à moi, non pas pour me libérer, mais pour ajouter un masque sur mes yeux et me couvrir la tête avec une cagoule intégrale. Me voilà à nouveau abandonnée à mon sort, complètement à la merci de mon Maître, dans une position peu confortable, la respiration gênée par la cagoule, le bâillon qui entrave ma bouche, et le clito toujours tiré derrière mes cuisses... Le pire, c'est que j'aime ça !

 

22 h. Fin du traitement, et libération de mes obligations de servante. Je remonte ma culotte. Je me recoiffe un peu. Je renfile mes cuissardes, mon long manteau et mon bonnet, puis souhaite une bonne soirée à mon Maître. A sa demande, je rentre chez moi avec un plug entre les fesses, et que je dois supporter en position assise dans la voiture, histoire de bien travailler ma chatte...

 

22 h 30. Rentrée chez moi, j'envoie un petit compte-rendu à mon dominant. Mon Maître m'informe qu'il a passé une bonne soirée, et qu'il compte me revoir très prochainement... 

Par chienne Elsa - Publié dans : Mon Maître - Communauté : travesti salope
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  • : Travesti 51 ans, habitant dans le Val d'Oise, essentiellement soumise. Je cherche plans coquins ou de soumission avec consœurs et/ou dominants, avec propositions de scénarios pour les rendez-vous. Je me déplace de préférence.
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