Lorsque par mail j'ai demandé à mon Maître le genre de tenue dans laquelle il préférait me voir, il m'a répondu "la plus pétasse possible". Autrement dit, j'ai carte blanche pour revêtir les tenues les plus indécentes qui soient, dans lesquelles même les femmes n'oseraient pas se montrer dans la rue. D'ailleurs, l'idée d'être habillée comme une pute a le don de m'exciter... J'ai donc commandé une microjupe ample qui, à défaut de dissimuler la fixation de mes jarretelles sur mes bas résilles, et à défaut de cacher intégralement mon clito, permet un "accès direct à ma chatte" a-t-il précisé... En attendant, et à l'occasion de ce nouveau rendez-vous, je me contente d'une jupe d'écolière sage et mi-cuisse.
20 h 15. Arrivée chez mon Maître, j'ôte mon long manteau qui dissimulait ma tenue de femme. Comme j'aurais aimé pouvoir me montrer ainsi dans la rue...
Dans la chambre, je finis de me préparer en enfilant mes bottines et en arrangeant ma longue perruque. Puis je retourne au salon pour m'accroupir à ses pieds et lui présenter ma boîte à accessoires.
Après application du bâillon et des menottes aux chevilles, il passe à l'inspection sous ma jupe et découvre un string rose à froufrous, avec des fentes d'ouverture devant et derrière, mais complètement débraillé. "C'est du n'importe quoi !" murmure-t-il. Ca commence mal... et il n'a pas tort. J'ai quitté mon domicile en retard, après une préparation effectuée à la va-vite, et sans vraiment réaliser que la taille de ce string tout neuf était trop juste.
En inspectant ma chatte, il me demande pourquoi je n'ai pas mis de lubrifiant, alors que le tube se trouve dans ma boîte à accessoires. A travers le bâillon, je lui murmure avec un certain embarras que j'ai oublié de m'en mettre... Comme il aurait préféré que je lui annonce que j'en ai plus besoin, j'ai droit à ma première punition : 10 fessées, et en ne faisant pas semblant ! Suite à ce traitement, il m'informe que je prendrai une autre correction dans la soirée pour avoir négligé le nettoyage de sa chambre lors du précédent rendez-vous . En effet, il a découvert que j'avais omis d'éliminer la poussière par endroits...
Puis vient le moment de l'introduction d'un gode dans ma chatte sensible, non sans difficultés, et en forçant au point que l'objet finit par pénétrer brutalement... "Tu as travaillé ta chatte ?" - "Oui Maître !". Sans vouloir lui manquer de respect, il avait surtout mal regardé et visé un tantinet à côté...
Ensuite, entravée avec les menottes aux chevilles, je dois passer l'aspirateur rapidement dans tout l'appartement. Sur mon passage, il remarque que mon clito produit du jus et laisse échapper des gouttes sur le parquet. Il me suggère, lors du prochain rendez-vous, d'insérer une tige pour colmater la fuite...
A titre de pause entre les tâches ménagères, j'ai droit à cette gâterie : il ouvre son pantalon et offre sa queue raide à ma bouche gourmande. Il me félicite pour mes progrès accomplis, même si j'ai parfois un inévitable réflexe de rejet lorsque je le reçois bien profond dans ma gorge. Pour avoir un peu de répit, j'alterne en jouant avec ma langue le long de sa queue...
Après avoir fait la vaisselle, c'est le moment du dessert. Il rouvre son pantalon et me demande de préparer ma langue afin de réceptionner son doux nectar prêt à gicler. Je conserve ainsi en moi cette partie de lui-même qu'est sa semence...
Puis je suis "autorisée" à passer tout l'appartement avec une serpillière, à 4 pattes, les chevilles toujours entravées, le string au niveau des genoux et le gode solidement arrimé entre mes fesses. N'ayant pas satisfait aux exigences de propreté parfaite, et comme il me l'avait promis, il m'inflige une sévère punition : 50 coups de ceinturon sur le postérieur ! La pénitence est dure, trop dure même. A quatre pattes, la jupe relevée, j'encaisse malgré tout jusqu'au bout, en comptant à sa demande chacune des frappes. Au coup final, je me redresse subitement pour ne pas m'exposer davantage à la sentence, car là c'en est trop...
Mais pour mon Maître, cela ne suffit pas. Il me remet le bâillon, enfile une cagoule intégrale sur ma tête et me fait relever. Puis je le sens me lier les poignets solidement avec une ficelle. Il me demande de soulever ma jupe pour accéder à mon clito. Je sens la ficelle enserrer la base de mes ovaires sur plusieurs tours. En tirant sur la ficelle, il me fait suivre. Je suis comme une chienne tenue en laisse, à ceci près que ladite laisse tire sur la partie la plus sensible de mon corps... Inutile d'essayer de résister. Il accroche la ficelle à un porte-manteau fixé au mur. La ficelle est très tendue. Je dois la tenir avec mes deux mains pour éviter qu'elle tire trop sur mes ovaires. Ainsi immobilisée, il en profite pour soulever ma jupe et exposer mes fesses à une nouvelle séries de corrections... Ensuite il m'abandonne dans cette position très vulnérable pour aller se prélasser devant la télé.
21 h 30. Il me libère enfin de mes obligations de servante. Je retourne dans ma chambre, remets ma perruque courte et mes cuissardes, enfile mon long manteau, récupère les accessoires et souhaite une bonne soirée à mon Maître.
De retour à la voiture, en conduisant je rouvre mon manteau et parcours ainsi la ville en femme, sans que les quelques piétons remarquent quoi que ce soit de ma courte jupe, mes bas résilles et mes hautes cuissardes. Mais, c'est plus fort que moi, j'ai envie de marcher dehors ainsi vêtue, le manteau ouvert, et, bien évidemment, dans un endroit discret. Sur mon chemin du retour, je trouve un parking surélevé et désert. Je me gare, je m'assure qu'il n'y aucun passant aux alentours et sors de ma voiture. Malgré la température de 5° C, je goûte au plaisir de flâner dans une tenue féminine un tantinet provocante, le manteau long ouvert, en restant près de ma voiture, et en observant les automobilistes qui s'arrêtent plus bas au carrefour puis poursuivent leur route. Soudain, je vois passer une voiture de la police municipale. Ne voulant pas prendre le risque d'être repérée et que mon comportement et ma tenue soient mal interprétés, je retourne aussitôt à ma voiture, sans précipitation. C'est la fin de ce moment agréable écourté, mais ce n'est que partie remise...
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