Mardi 9 août 2 09 /08 /Août 13:22

Elsa, travesti 55 ans, grande et mince, circoncise, aimant porter des tenues courtes et indécentes, cherche consœur la cinquantaine ou plus pour jeux de gouinage et de soumission soft en privé.

Je suis une adepte de la couche-culotte lors des séances de ligotage de longue durée. Pas de crade, ni uro ni scato. Hygiène rigoureuse et discrétion souhaitées. Je me déplace en voiture. Annonce non vénale.

Par chienne Elsa - Publié dans : Annonce - Communauté : RENCONTRES DU 3 EME SEXE
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Jeudi 13 juin 4 13 /06 /Juin 22:41
J’avais convenu d’un rendez-vous en journée avec mon Maître. A cette occasion, il m’a annoncé l’arrivée d’un autre soumis, bbondy, pour un programme des réjouissances à trois. Malheureusement, mon Maître a finalement annulé pour raison professionnelle. C’est une grosse déception pour moi, eu égard à la préparation nécessaire avant chaque rendez-vous pour répondre à ses exigences (épilation totale, assouplissement et propreté de ma chatte). 

C’est une grosse déception aussi pour bbondy, qui m’avait contacté sur fessestivités.com et que j’avais invité à solliciter mon Maître. Du coup, comme nous étions libres tous les deux ce mardi, je lui proposé de me rendre visite, moi le recevant en fille, et lui comme il le souhaite. Comme je lui décrivais la tenue dans laquelle je le recevrai (bottes, bas & jarretelles, petite jupe), il s’est mis à m’imaginer en « dominatrice ». C’est un rôle à contre-emploi, mais pourquoi pas... Voilà un plan qui au moins est plus clair que ce qu’on peut imaginer juste entre deux soumis.

Je pars le chercher à la gare ce mardi après-midi, avec une demi-heure d’avance sur l’heure convenue, ce qui ne me laisse pas le temps de finir de passer l’aspirateur dans le salon. Mais peu importe, je connais quelqu'un qui va pouvoir sans doute terminer le nettoyage… 
 
Arrivés chez moi, je rebascule en mode « fille » et lui demande de se mettre en slip puis à 4 pattes, ce qu’il exécute immédiatement. Bbondy est un vrai soumis. Il est parfaitement docile et obéissant. Au début, j’hésite à lui imposer quoi que ce soit, mais chaque fois que je lui propose quelque chose, il me répond : « C’est vous qui voyez, Maîtresse ! ». Le message est clair : c’est à moi de décider…

Avec la tapette, je parcours son corps dénudé, d’abord en douceur en lui effleurant le dos, les jambes et les fesses, puis en tapotant sur son entrejambe. Il ne bronche pas… Alors sur les fesses, j’alterne entre les caresses sensuelles et les frappes, qu’il encaisse très bien.  Puisqu’il me confiait par mail son envie d’explorer visuellement ma jupe, je ne suis pas fait prier. Lui allongé sur le dos, je m’approche peu à peu de son visage en le caressant d’abord avec ma jupe ample, puis en douceur avec mon clito emprisonné dans ma culotte. Comme je le sens me mordiller au passage, je libère mon clito qui gonfle et se durcit, ce qui me permet de lui battre son visage… Enfin, je pénètre dans sa bouche accueillante pour une série de va-et-vient… Trop bon !

Bbondy accepte tout ce que je lui fais subir, à un niveau soft il est vrai. Avec une laisse fixée à son clito et ses mains menottées au dos, je le promène agenouillé dans toute la pièce… J’abuse à plusieurs reprises de la fellation car j’aime ça, et il me prend dans sa bouche à chaque fois sans opposer de résistance. Je fais un usage quasi-permanent de mon martinet et de ma tapette, sans la moindre justification, en alternant les coups avec les caresses. Il encaisse en poussant des gémissements… mais sans la moindre protestation.

Pour le reposer un peu, je le soumets à un traitement inédit pour lui : le ligotage. Avec une corde, je lui lie les poignets au dos, les bras, les genoux et les chevilles, puis le dépose délicatement sur le tapis. Le voilà complètement à ma merci, et il me fait confiance. Je l’abandonne ainsi pendant quelques minutes, toutefois en revenant de temps à autre pour lui caresser le corps. La Maîtresse que je suis manifeste de la compassion pour son soumis… 

Après l’avoir détaché, je lui fais enfiler une tenue de soubrette en vinyle et un large jupon blanc. Le voilà prêt à me servir… Il se saisit de l’aspirateur pour terminer le nettoyage dans le salon et la salle à manger. D’une humeur taquine, je le harcèle continuellement à coups de tapette et de fessées et en me frottant à son corps avec mon clito ; ce qui le déconcentre et perturbe un tantinet le déroulement de sa tâche ménagère, et m’oblige à le sanctionner pour son inefficacité… 

Puis je lui demande de masser mes jambes, mes fesses et mon dos, et de bien malaxer mon clito. Il s’exécute à merveille, en prenant l’initiative de poser quelques bisous sur mes fesses...

Pour le récompenser de sa servitude, je lui offre un yaourt, mais pas n’importe comment… Afin de mettre en valeur ce produit laitier, il utilise une cuillère pour enduire mon clito, puis le lèche goulument jusqu’à ce qu'il soit parfaitement nettoyé… Miam !

Enfin, je le soumets à une autre expérience inédite : l’engodage de son « petit cul » comme il le dit lui-même. D’abord avec un modèle souple de 30 mm qui passe très bien. Puis avec un autre de calibre 35 mm qui le fait souffrir un tantinet. Je le laisse faire lui-même, sans le forcer. Dommage que je ne puisse prendre sa chatte avec mon calibre 4,5 cm, bien que ce ne soit pas l’envie qui m’en manque…

Vient le moment du switch ! Je l’invite à me lier les mains au dos ainsi que mes chevilles. Etant à mon tour à sa merci, il a carte blanche pour me rendre la monnaie de sa pièce, ce qu’il fait timidement en se contentant de m’infliger quelques légers coups de tapette… 

Finalement, c’est lui qui me demande de lui infliger une série de fessées en étant posé à plat ventre sur mes cuisses, ce que j’exécute sans me faire prier histoire de le punir de ne pas avoir vraiment abusé de moi précédemment…

Voilà pour cette première rencontre avec un soumis qui se voulait très soft, histoire de ne pas laisser de traces sur son corps et ne pas éveiller les soupçons de sa tendre épouse…

Au "débriefing" avec une bière à la main, il m'a dit que ce traitement lui a beaucoup plu et qu'il a envie de revenir... Malheureusement, les moments où je peux recevoir discrètement dans ma maison sont rares, et lui est marié. Malgré ses relances, nous n'avons jamais pu renouveler ensemble cette expérience, qui m'a bien plus aussi...
Par chienne Elsa - Publié dans : Switchée en Maîtresse Elsa - Communauté : travesti salope
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Jeudi 6 juin 4 06 /06 /Juin 10:45

C'est sur www.kinoo.fr que je découvre l'annonce d'un monsieur de 61 ans, très apprécié d'après les évaluations. Le rendez-vous est convenu à la tombée de la nuit vers 22 h 30, afin je puisse m'y rendre directement habillée en fille. Il prendra son viagra une demi-heure avant mon arrivée...

 

Il me demande d'être juste vêtue d'une nuisette noire et transparente avec mes bas résilles. Pas de culotte ni soutien-gorge. En voiture, le tout est dissimulé sur mon long imperméable et mes bottes hautes à talon plat. En cours de route et sur un parking désert, je remplace mes bottes par une paire de bottines. Me voilà prête à être accueillie...

 

Arrivée en vue de son appartement, je me gare sur une place située dans la rue à une trentaine de mètres et le contacte par téléphone. Il arrive après s'être assuré que l'entrée de l'immeuble et l'impasse soient déserts. Il me demande alors de sortir de la voiture, avec mon imperméable largement ouvert sur ma tenue indécente. Personne ne m'avait demandé de faire ça sur la voie publique jusqu'à présent... Non sans une certaine appréhension, je m'exécute tandis qu'il m'observe en jetant un oeil de temps en temps sur les environs. Le quartier est calme et les gens semblent déjà endormis. Puis il m'invite à le suivre en direction de son immeuble, toujours avec mon imperméable grand ouvert. Nous marchons doucement pour profiter de cet instant insolite. A travers ma nuisette, une brise tiède caresse mon clito imberbe et mon coeur bat la chamade. J'aurais aimé pouvoir faire des kilomètres ainsi. C'est une expérience risquée, surtout pour lui qui réside dans le quartier, mais un moment très érotique et excitant.

 

Une fois dans l'appartement, il ôte ma nuisette et me demande de m'asseoir sur le lit. Me voilà juste vêtue de mes bas résilles, de mes bottines et de ma perruque auburn qui imite très bien les cheveux naturels dit-il. Il se déshabille et se présente devant moi. Son corps est bien bâti, bien conservé. Il possède une queue imposante. Soudain il reçoit un appel de sa petite amie. D'un geste, il me demande d'être très discrète et de ne pas faire le moindre bruit. Mais comme la conversation s'éternise, pour m'occuper je m'empare de sa queue en béton, je la caresse, je la malaxe, la couvre généreusement de bisous, je la lèche et la prends finalement dans ma bouche en pratiquant des lents va-et-vient.  Imperturbable, il poursuit tranquillement la conversation avec sa copine. Ma tentative d'écourter sa communication téléphonique a échoué... 

 

Après avoir enfin raccroché, il me demande de me mettre à 4 pattes, en position de la levrette, prête à me faire empaler. Il enfile un préservatif, applique un lubrifiant et s'empare de ma chatte... Hélas, l'expérience sera de courte durée car ce monsieur est trop bien membré avec un calibre de 5 cm et je ressens surtout des sensations de brûlure. Au bout d'une minute, je le supplie d'arrêter et il n'insiste pas.

 

Le reste de la soirée, on échange des caresses, on se dévore mutuellement nos queues. Pour réveiller la sienne, il me demande régulièrement de lui pincer les tétons. L'effet est garanti...

 

Vers minuit, je me rhabille dans une tenue présentable, avec une jupe volantée mi-cuisse et un chemisier. Il me raconte ses belles vacances et me montre des albums photo. 

 

A mon départ, il décide de me raccompagner jusqu'à la voiture avec mon manteau ouvert. Une douce fraîcheur remonte jusqu'à mon clito exposé à l'air libre sous ma jupe. Mais même vêtue décemment, il me juge peu crédible en femme eu égard à ma grande taille. Il s'assure par conséquent qu'on ne croisera personne.

 

Au final, j'ai passé une soirée avec un monsieur très charmant et qui adore les travestis. Mais sur le plan sexuel, l'expérience a été un peu décevante. Bien que travaillant ma chatte avec des godes, elle n'est pas faite pour accueillir des queues trop bien membrées. Au-delà de 4 cm, je ne ressens pas de plaisir à être pénétrée. Au risque de surprendre certaines, je préfère nettement les petits calibres s'ils sont vigoureux...

 

Par Elsa TV - Publié dans : Rencontres - Communauté : RENCONTRES DU 3 EME SEXE
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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 00:30

Lorsque par mail j'ai demandé à mon Maître le genre de tenue dans laquelle il préférait me voir, il m'a répondu "la plus pétasse possible". Autrement dit, j'ai carte blanche pour revêtir les tenues les plus indécentes qui soient, dans lesquelles même les femmes n'oseraient pas se montrer dans la rue. D'ailleurs, l'idée d'être habillée comme une pute a le don de m'exciter... J'ai donc commandé une microjupe ample qui, à défaut de dissimuler la fixation de mes jarretelles sur mes bas résilles, et à défaut de cacher intégralement mon clito, permet un "accès direct à ma chatte" a-t-il précisé... En attendant, et à l'occasion de ce nouveau rendez-vous, je me contente d'une jupe d'écolière sage et mi-cuisse.


20 h 15. Arrivée chez mon Maître, j'ôte mon long manteau qui dissimulait ma tenue de femme. Comme j'aurais aimé pouvoir me montrer ainsi dans la rue...


Dans la chambre, je finis de me préparer en enfilant mes bottines et en arrangeant ma longue perruque. Puis je retourne au salon pour m'accroupir à ses pieds et lui présenter ma boîte à accessoires.


Après application du bâillon et des menottes aux chevilles, il passe à l'inspection sous ma jupe et découvre un string rose à froufrous, avec des fentes d'ouverture devant et derrière, mais complètement débraillé. "C'est du n'importe quoi !" murmure-t-il. Ca commence mal... et il n'a pas tort. J'ai quitté mon domicile en retard, après une préparation effectuée à la va-vite, et sans vraiment réaliser que la taille de ce string tout neuf était trop juste.


En inspectant ma chatte, il me demande pourquoi je n'ai pas mis de lubrifiant, alors que le tube se trouve dans ma boîte à accessoires. A travers le bâillon, je lui murmure avec un certain embarras que j'ai oublié de m'en mettre... Comme il aurait préféré que je lui annonce que j'en ai plus besoin, j'ai droit à ma première punition : 10 fessées, et en ne faisant pas semblant ! Suite à ce traitement, il m'informe que je prendrai une autre correction dans la soirée pour avoir négligé le nettoyage de sa chambre lors du précédent rendez-vous . En effet, il a découvert que j'avais omis d'éliminer la poussière par endroits...


Puis vient le moment de l'introduction d'un gode dans ma chatte sensible, non sans difficultés, et en forçant  au point que l'objet finit par pénétrer brutalement... "Tu as travaillé ta chatte ?" - "Oui Maître !". Sans vouloir lui manquer de respect, il avait surtout mal regardé et visé un tantinet à côté... 


Ensuite, entravée avec les menottes aux chevilles, je dois passer l'aspirateur rapidement dans tout l'appartement. Sur mon passage, il remarque que mon clito produit du jus et laisse échapper des gouttes sur le parquet. Il me suggère, lors du prochain rendez-vous, d'insérer une tige pour colmater la fuite...


A titre de pause entre les tâches ménagères, j'ai droit à cette gâterie : il ouvre son pantalon et offre sa queue raide à ma bouche gourmande. Il me félicite pour mes progrès accomplis, même si j'ai parfois un inévitable réflexe de rejet lorsque je le reçois bien profond dans ma gorge. Pour avoir un peu de répit, j'alterne en jouant avec ma langue le long de sa queue...


Après avoir fait la vaisselle, c'est le moment du dessert. Il rouvre son pantalon et me demande de préparer ma langue afin de réceptionner son doux nectar prêt à gicler. Je conserve ainsi en moi cette partie de lui-même qu'est sa semence...


Puis je suis "autorisée" à passer tout l'appartement avec une serpillière, à 4 pattes, les chevilles toujours entravées, le string au niveau des genoux et le gode solidement arrimé entre mes fesses. N'ayant pas satisfait aux exigences de propreté parfaite, et comme il me l'avait promis, il m'inflige une sévère punition : 50 coups de ceinturon sur le postérieur ! La pénitence est dure, trop dure même. A quatre pattes, la jupe relevée, j'encaisse malgré tout jusqu'au bout, en comptant à sa demande chacune des frappes. Au coup final, je me redresse subitement pour ne pas m'exposer davantage à la sentence, car là c'en est trop...

 

Mais pour mon Maître, cela ne suffit pas. Il me remet le bâillon, enfile une cagoule intégrale sur ma tête et me fait relever. Puis je le sens me lier les poignets solidement avec une ficelle. Il me demande de soulever ma jupe pour accéder à mon clito. Je sens la ficelle enserrer la base de mes ovaires sur plusieurs tours. En tirant sur la ficelle, il me fait suivre. Je suis comme une chienne tenue en laisse, à ceci près que ladite laisse tire sur la partie la plus sensible de mon corps... Inutile d'essayer de résister. Il accroche la ficelle à un porte-manteau fixé au mur. La ficelle est très tendue. Je dois la tenir avec mes deux mains pour éviter qu'elle tire trop sur mes ovaires. Ainsi immobilisée, il en profite pour soulever ma jupe et exposer mes fesses à une nouvelle séries de corrections... Ensuite il m'abandonne dans cette position très vulnérable pour aller se prélasser devant la télé. 


21 h 30. Il me libère enfin de mes obligations de servante. Je retourne dans ma chambre, remets ma perruque courte et mes cuissardes, enfile mon long manteau, récupère les accessoires et souhaite une bonne soirée à mon Maître.

 

De retour à la voiture, en conduisant je rouvre mon manteau et parcours ainsi la ville en femme, sans que les quelques piétons remarquent quoi que ce soit de ma courte jupe, mes bas résilles et mes hautes cuissardes. Mais, c'est plus fort que moi, j'ai envie de marcher dehors ainsi vêtue, le manteau ouvert, et, bien évidemment, dans un endroit discret. Sur mon chemin du retour, je trouve un parking surélevé et désert. Je me gare, je m'assure qu'il n'y aucun passant aux alentours et sors de ma voiture. Malgré la température de 5° C, je goûte au plaisir de flâner dans une tenue féminine un tantinet provocante, le manteau long ouvert, en restant près de ma voiture, et en observant les automobilistes qui s'arrêtent plus bas au carrefour puis poursuivent leur route. Soudain, je vois passer une voiture de la police municipale. Ne voulant pas prendre le risque d'être repérée et que mon comportement et ma tenue soient mal interprétés, je retourne aussitôt à ma voiture, sans précipitation. C'est la fin de ce moment agréable écourté, mais ce n'est que partie remise...

Par Elsa TV - Publié dans : Mon Maître - Communauté : travesti salope
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 23:57

19 h 15. Je m'apprête à quitter mon domicile après plus d'une heure de préparation : dernière séance d'épilation de mes jambes, rasage de finition de mon clito, nettoyage de ma chatte, et habillement.

Je dissimule ma courte jupe et ma poitrine ambiguë sous un très long manteau, et mes bas résilles avec une paire de cuissardes à talons plats. Ma perruque courte est recouverte avec un bonnet d'hiver. Je suis ravie de pouvoir sortir en jupe, avec cette sensation agréable de douce fraîcheur remontant jusqu'en haut de mes cuisses, tout en passant inaperçue grâce à mon long manteau fermé. D'ailleurs, aucun passant ne prête attention à moi. Je peux ainsi rejoindre tranquillement ma voiture, et en route pour Maisons-Laffitte ! Au volant, je peux rouvrir mon manteau et me voir conduire en femme...

 

20 h. Arrivée chez mon Maître, et excitée à l'idée d'être vue habillée ainsi ! Dans le salon, j'ouvre mon manteau et lui présente ma nouvelle tenue : une petite jupe de style kawaii, motifs pâtisserie rouge et rose et dentelle, remontée au maximum au niveau de la taille, et évasée avec un large jupon en tulle blanc et fin. De quoi attiser son appétit... 

 

Il m'invite à finir de me préparer dans la chambre et la salle de bains. Je remplace mes cuissardes par de jolies bottines à talon moyen. J'arrange ma coiffure et me voilà prête à servir mon Maître.

 

Comme à chaque rendez-vous, il m'attend assis sur le canapé dans le salon. Je m'agenouille devant lui et pose à terre ma boîte à accessoires : cordes à bondage, bâillon, plug, lubrifiant, menottes pour chevilles, collier "slave", laisse, masque et cagoule.

 

Son premier geste consiste à me bâillonner. Puis il me fait signe de me lever et de soulever ma jupe. Il abaisse ma culotte, enfile la laisse à la base de mon clito et le ligote fermement avec les lanières en cuir. Gare aux durcissements que je risque de sentir passer ! Enfin, il installe les menottes à mes chevilles. Me voilà prête à le servir... Mais en plus, nouveau raffinement, et estimant que mon clito n'est pas à sa juste place, il le repousse vers l'arrière de mes cuisses, et me demande de rester ainsi, jambes serrées ! Pas facile de marcher dans ces conditions, avec le buste incliné en avant, mais cela ne semble pas vraiment le déranger...


1ère tâche : passer l'aspirateur, y compris dans les recoins, et avec la culotte abaissée à mi-hauteur de cuisse. Je parcours à petit pas le salon et la chambre, avec le clito qui me tire entre les jambes et finit par se libérer ! Inquiète de la réaction de mon Maître, je le remets en place discrètement. Pas de chance, il s'en aperçoit, et j'ai droit à ma première correction de la soirée : 10 fessées, sans ménagement ! 


A la fin du nettoyage, comme à l'issue de toute tâche, je retourne m'agenouiller devant lui, en attente de la sanction ou de la récompense... Il enlève mon bâillon, ouvre sa ceinture et son pantalon, et introduit sa queue en béton dans ma bouche... J'applique scrupuleusement ses instructions : bouche grande ouverte pour ne pas laisser frotter les dents, gorge profonde, tournoiement de la langue autour du gland, puis nettoyage final avec la langue...

 

2è tâche : repassage de chemises et de polos, le dos tourné à mon Maître, qui, lui, est confortablement installé dans le canapé, avec vue directe sous ma jupe et mon jupon au ras des fesses, mon clito coincé derrière mes cuisses, et ma culotte presqu'au niveau des genoux.

 

3è tâche : la vaisselle, limitée heureusement à une assiette et un couvert.

 

4è tâche : "la serpillère, et à 4 pattes !" ordonne-t-il. Toujours bâillonnée, et ayant assez d'être exploitée, je lui fais "non" d'un signe de tête. Sa réaction ne se fait pas attendre... Il lie mes mains derrière le dos et me dirige vers la porte de sa chambre où se trouve fixée une barre. Il me ligote le buste et m'attache à cette barre. Il me penche en avant et lève ma jupe. Me voilà prête pour l'exécution de la sentence... Comme souvent à chaque rendez-vous, j'appréhende le sort qu'il me réserve. Je le sens s'approcher de moi, armé d'une tapette ou d'une ceinture (impossible d'apercevoir l'instrument de punition dans la position où je suis...). J'ai droit à une dizaine de frappes bien marquées, qui me font hurler à travers le bâillon. Ma peau s'en souviendra encore 48 h plus tard...

 

Puis il m'abandonne, ainsi immobilisée, pendant 1/4 d'heure. En m'observant depuis son canapé, il me demande de rester penchée en avant, histoire de se régaler à la vue de mes fesses rougies, qu'il revient palper à intervalles réguliers.

 

Enfin il revient à moi, non pas pour me libérer, mais pour ajouter un masque sur mes yeux et me couvrir la tête avec une cagoule intégrale. Me voilà à nouveau abandonnée à mon sort, complètement à la merci de mon Maître, dans une position peu confortable, la respiration gênée par la cagoule, le bâillon qui entrave ma bouche, et le clito toujours tiré derrière mes cuisses... Le pire, c'est que j'aime ça !

 

22 h. Fin du traitement, et libération de mes obligations de servante. Je remonte ma culotte. Je me recoiffe un peu. Je renfile mes cuissardes, mon long manteau et mon bonnet, puis souhaite une bonne soirée à mon Maître. A sa demande, je rentre chez moi avec un plug entre les fesses, et que je dois supporter en position assise dans la voiture, histoire de bien travailler ma chatte...

 

22 h 30. Rentrée chez moi, j'envoie un petit compte-rendu à mon dominant. Mon Maître m'informe qu'il a passé une bonne soirée, et qu'il compte me revoir très prochainement... 

Par chienne Elsa - Publié dans : Mon Maître - Communauté : travesti salope
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  • : Chienne Elsa
  • Chienne Elsa
  • : Rencontre
  • : Travesti 51 ans, habitant dans le Val d'Oise, essentiellement soumise. Je cherche plans coquins ou de soumission avec consœurs et/ou dominants, avec propositions de scénarios pour les rendez-vous. Je me déplace de préférence.
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